Depuis hier je n’arrive pas à dormir, je me sens lassée,
desésperée, blasée, suffoquée de toutes les sensations : bonnes ou
mauvaises…. Mon cœur ne cessait de battre au point qu’il a commencé à me faire
mal , envie de l’extérioriser par mes petites mains et le jeter pour ne plus le
sentir car il saigne.
Mes pleurs ne cessent de s’ecouler , mon ame dechue, je me
sens corps sans ame , un esprit vide de toute sensation. Je ne savais pas ta
vraie valeur jusqu’à ce jour ou tu m’as dit que tu quitteras definitivement, je
ne savais pas ta vraie valeur parce que tu étais pour moi une necessité mais
pas un besoin , je dirai l’air que je respire. Sentons nous vraiment la valeur
importante de l’air ? je dirai non parce qu on est habitué à le respirer
avec un soupire, sans fournir aucun effort ? je dirai que tu etais un
besoin physiologique comme boire et manger et trouver un abri, mais de quel
abri dont je parle ??? ai-je vraiment besoin de toi ou c’est toi qui a
besoin de moi , ou avons-nous besoins l’un de l’autre. Un cri de douleur, l’effroi
du malheur, j’ai plus les mots pour te dire aurevoir , tu sais que j’aime pas
les adieu donc stp ne me le dis pas, je ne veux plus te voir, pars tout court,
tout simplement , sans penser à moi , ne me torture pas, je te dirai navrée je
ne savais pas ta vraie valeur
desésperée, blasée, suffoquée de toutes les sensations : bonnes ou
mauvaises…. Mon cœur ne cessait de battre au point qu’il a commencé à me faire
mal , envie de l’extérioriser par mes petites mains et le jeter pour ne plus le
sentir car il saigne.
Mes pleurs ne cessent de s’ecouler , mon ame dechue, je me
sens corps sans ame , un esprit vide de toute sensation. Je ne savais pas ta
vraie valeur jusqu’à ce jour ou tu m’as dit que tu quitteras definitivement, je
ne savais pas ta vraie valeur parce que tu étais pour moi une necessité mais
pas un besoin , je dirai l’air que je respire. Sentons nous vraiment la valeur
importante de l’air ? je dirai non parce qu on est habitué à le respirer
avec un soupire, sans fournir aucun effort ? je dirai que tu etais un
besoin physiologique comme boire et manger et trouver un abri, mais de quel
abri dont je parle ??? ai-je vraiment besoin de toi ou c’est toi qui a
besoin de moi , ou avons-nous besoins l’un de l’autre. Un cri de douleur, l’effroi
du malheur, j’ai plus les mots pour te dire aurevoir , tu sais que j’aime pas
les adieu donc stp ne me le dis pas, je ne veux plus te voir, pars tout court,
tout simplement , sans penser à moi , ne me torture pas, je te dirai navrée je
ne savais pas ta vraie valeur