Les différents complexes :
Le complexe d’Œdipe et d’Electre : déjà vu dans le chapitre consacré à Freud. Le complexe d’Electre est l’équivalent féminin du complexe d’Œdipe.
Le complexe d’abandon :
sentiment de rejet, d’être mal-aimé. Peur excessive de la séparation,
correspond à un état dépressif. La personne n’est jamais sûre de
l’affection qu’on lui porte, elle devient méchante, agressive, etc.
Désir d’amour absolu et de preuves d’affection constantes ainsi que de
fusion dans le couple.
Réaction possible de rejet de toute affectivité par peur d’aimer puis de perdre l’autre. Tendance a tout intellectualiser.
Des personnes très passionnelles peuvent investir toute leur passion en une seule personne.
Possibilité de refus d’engagement avec une personne.
Une
autre réaction possible est de se sacrifier, de toujours aider les
autres dans le but d’être aimé. Ces personnes sont souvent envahissantes
pour les autres.
Ce complexe provient soit d’une absence
d’amour dans l’enfance (absence de contact avec la mère) soit d’une
concentration trop importante de l’amour des parents sur un enfant
unique. Ce dernier voudra être le centre des êtres qui l’aimeront, ce
qui n’est pas facile pour un partenaire.
Complexe de rivalité fraternelle :
complexe engendré par la naissance du frère ou de la sœur. L’enfant
ressent un complexe d’abandon et aura tendance à régresser. Devenu
adulte, il ressentira un sentiment de rivalité à l’égard de beaucoup de
personnes.
Complexe d’insécurité :
correspond à un manque de confiance en la vie et en soi. La personne
peut souffrir de phobies. Elle peut se construire tout un système de
sécurité (par exemple en conservant des choses en abondance). Si
l’insécurité est niée (selon Adler) elle va se transformer
en témérité excessive. Ce complexe provient d’une absence d’amour, de
l’existence de liens difficiles avec les autres, etc.
Complexe de castration :
symbole de la castration de sa personnalité. Difficulté à s’affirmer
personnellement. Provient de parents trop possessifs qui dirigent
l’enfant de peur de le perdre, ce qui fait que devenu adulte, l’enfant
aura peur de quitter ses parents, de devenir autonome et d’avoir une
relation durable. Il développera pour ses parents des sentiments
ambivalents d’amour et de haine.
Ce complexe se manifeste par
une surcompensation, un désir de vouloir dépasser son père pour lui
prouver quelque chose, sentiments de donjuanisme, d’autoritarisme, de
sadisme, etc.
On répète souvent l’attitude de ses parents.
Complexe de culpabilité :
très fréquent. Dû à la rigidité de la conscience morale, idée du
devoir. Dramatisation des moindres fautes ou erreurs. Se traduit par
l’autopunition. Recherche de justification. Va avec le perfectionnisme.
Peur du jugement des autres. La personne ne se sent parfois plus digne
d’être aimée (mépris de soi-même).
Certains sentiments de culpabilité sont nécessaires quand on fait du tort à autrui.
L’origine
de ce complexe est la culpabilisation excessive, une éducation trop
stricte (le bien / le mal), la comparaison continuelle avec autrui, etc.
Complexe d’infériorité : terme crée par Adler qui
fait une distinction entre le sentiment et le complexe d’infériorité.
L’enfant développe un sentiment d’infériorité face à l’adulte (volonté
de puissance pour compenser ce sentiment), ce sentiment est normal chez
l’enfant. Le complexe d’infériorité provient d’un manque de confiance en
soi. Un enfant trop gâté par ses parents une fois adulte ne comprendra
pas pourquoi tout le monde ne l’aime pas et développera un complexe
d’infériorité.
La compensation se fera par des rêves de grandeur, par une mégalomanie, etc.
Pour Adler, le complexe d’infériorité provient d’une mauvaise compensation du sentiment d’infériorité de l’enfance.
Certaines
personnes n’osent pas s’exprimer de peur d’être ridicules. Elles
deviennent dépendantes de l’autorité. Chez les femmes, il peut exister
un sentiment d’infériorité par rapport aux hommes (origine culturelle),
la réaction à ce sentiment se traduira par une conduite de garçon
manqué.
Le sentiment d’infériorité peut être surcompensé par le complexe de supériorité (vanité, ironie, etc.).
Les
causes de ce complexe sont la souffrance d’un handicape réel, la
souffrance de ne pas être conforme aux normes sociales, l’éducation
infériorisante, etc.
Complexe de Narcisse :
centration sur soi et incapacité d’aimer. Fait de trouver naturel
d’être aimé sans retour. C’est aussi le fait de s’autoanalyser et de ne
parler que de soi. Fait de ne s’intéresser à l’autre que si on se
reconnaît en lui. Le narcissisme s’étend au prolongement du Moi
(famille, amis, etc.), il est associé aux complexes d’abandon,
d’infériorité et de culpabilité.
Une personne très susceptible l’est car elle rapporte tout à elle-même.
La société exalte le culte du Moi.
Conclusion
Il
y a des degrés variables dans les complexes. La prise de conscience de
la manière dont se forment les complexes permet d’y remédier.Les complexes sont dangereux quand ils empêchent la communication, le contact et l’écoute des autres
alors vs avez quel complexe
moi le complexe de l'abondon je l ai eu et je l ai surmonté ca remonté a 4 ans de cela je me rappelle des moments et des jours noir de ma vie, je me rappelle de mon insomnie? dieu merci ? CAPABLE DE TT CHANGER
Le complexe d’Œdipe et d’Electre : déjà vu dans le chapitre consacré à Freud. Le complexe d’Electre est l’équivalent féminin du complexe d’Œdipe.
Le complexe d’abandon :
sentiment de rejet, d’être mal-aimé. Peur excessive de la séparation,
correspond à un état dépressif. La personne n’est jamais sûre de
l’affection qu’on lui porte, elle devient méchante, agressive, etc.
Désir d’amour absolu et de preuves d’affection constantes ainsi que de
fusion dans le couple.
Réaction possible de rejet de toute affectivité par peur d’aimer puis de perdre l’autre. Tendance a tout intellectualiser.
Des personnes très passionnelles peuvent investir toute leur passion en une seule personne.
Possibilité de refus d’engagement avec une personne.
Une
autre réaction possible est de se sacrifier, de toujours aider les
autres dans le but d’être aimé. Ces personnes sont souvent envahissantes
pour les autres.
Ce complexe provient soit d’une absence
d’amour dans l’enfance (absence de contact avec la mère) soit d’une
concentration trop importante de l’amour des parents sur un enfant
unique. Ce dernier voudra être le centre des êtres qui l’aimeront, ce
qui n’est pas facile pour un partenaire.
Complexe de rivalité fraternelle :
complexe engendré par la naissance du frère ou de la sœur. L’enfant
ressent un complexe d’abandon et aura tendance à régresser. Devenu
adulte, il ressentira un sentiment de rivalité à l’égard de beaucoup de
personnes.
Complexe d’insécurité :
correspond à un manque de confiance en la vie et en soi. La personne
peut souffrir de phobies. Elle peut se construire tout un système de
sécurité (par exemple en conservant des choses en abondance). Si
l’insécurité est niée (selon Adler) elle va se transformer
en témérité excessive. Ce complexe provient d’une absence d’amour, de
l’existence de liens difficiles avec les autres, etc.
Complexe de castration :
symbole de la castration de sa personnalité. Difficulté à s’affirmer
personnellement. Provient de parents trop possessifs qui dirigent
l’enfant de peur de le perdre, ce qui fait que devenu adulte, l’enfant
aura peur de quitter ses parents, de devenir autonome et d’avoir une
relation durable. Il développera pour ses parents des sentiments
ambivalents d’amour et de haine.
Ce complexe se manifeste par
une surcompensation, un désir de vouloir dépasser son père pour lui
prouver quelque chose, sentiments de donjuanisme, d’autoritarisme, de
sadisme, etc.
On répète souvent l’attitude de ses parents.
Complexe de culpabilité :
très fréquent. Dû à la rigidité de la conscience morale, idée du
devoir. Dramatisation des moindres fautes ou erreurs. Se traduit par
l’autopunition. Recherche de justification. Va avec le perfectionnisme.
Peur du jugement des autres. La personne ne se sent parfois plus digne
d’être aimée (mépris de soi-même).
Certains sentiments de culpabilité sont nécessaires quand on fait du tort à autrui.
L’origine
de ce complexe est la culpabilisation excessive, une éducation trop
stricte (le bien / le mal), la comparaison continuelle avec autrui, etc.
Complexe d’infériorité : terme crée par Adler qui
fait une distinction entre le sentiment et le complexe d’infériorité.
L’enfant développe un sentiment d’infériorité face à l’adulte (volonté
de puissance pour compenser ce sentiment), ce sentiment est normal chez
l’enfant. Le complexe d’infériorité provient d’un manque de confiance en
soi. Un enfant trop gâté par ses parents une fois adulte ne comprendra
pas pourquoi tout le monde ne l’aime pas et développera un complexe
d’infériorité.
La compensation se fera par des rêves de grandeur, par une mégalomanie, etc.
Pour Adler, le complexe d’infériorité provient d’une mauvaise compensation du sentiment d’infériorité de l’enfance.
Certaines
personnes n’osent pas s’exprimer de peur d’être ridicules. Elles
deviennent dépendantes de l’autorité. Chez les femmes, il peut exister
un sentiment d’infériorité par rapport aux hommes (origine culturelle),
la réaction à ce sentiment se traduira par une conduite de garçon
manqué.
Le sentiment d’infériorité peut être surcompensé par le complexe de supériorité (vanité, ironie, etc.).
Les
causes de ce complexe sont la souffrance d’un handicape réel, la
souffrance de ne pas être conforme aux normes sociales, l’éducation
infériorisante, etc.
Complexe de Narcisse :
centration sur soi et incapacité d’aimer. Fait de trouver naturel
d’être aimé sans retour. C’est aussi le fait de s’autoanalyser et de ne
parler que de soi. Fait de ne s’intéresser à l’autre que si on se
reconnaît en lui. Le narcissisme s’étend au prolongement du Moi
(famille, amis, etc.), il est associé aux complexes d’abandon,
d’infériorité et de culpabilité.
Une personne très susceptible l’est car elle rapporte tout à elle-même.
La société exalte le culte du Moi.
Conclusion
Il
y a des degrés variables dans les complexes. La prise de conscience de
la manière dont se forment les complexes permet d’y remédier.Les complexes sont dangereux quand ils empêchent la communication, le contact et l’écoute des autres
alors vs avez quel complexe
moi le complexe de l'abondon je l ai eu et je l ai surmonté ca remonté a 4 ans de cela je me rappelle des moments et des jours noir de ma vie, je me rappelle de mon insomnie? dieu merci ? CAPABLE DE TT CHANGER