FEMMAS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
FEMMAS

Bienvenue sur femmas, Femmas a pour but de rassembler les gens , sortir ensemble , faire des activités ensemble , disculter de tous les sujets....https://www.facebook.com/contrelaviolenceeee?ref=hl

-55%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer HD9200/90 Série 3000
49.99 € 109.99 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Les complexes

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Les complexes Empty Les complexes Ven 16 Mar - 5:41

chaotica

chaotica
Admin

Les différents complexes :

Le complexe d’Œdipe et d’Electre : déjà vu dans le chapitre consacré à Freud. Le complexe d’Electre est l’équivalent féminin du complexe d’Œdipe.

Le complexe d’abandon :
sentiment de rejet, d’être mal-aimé. Peur excessive de la séparation,
correspond à un état dépressif. La personne n’est jamais sûre de
l’affection qu’on lui porte, elle devient méchante, agressive, etc.
Désir d’amour absolu et de preuves d’affection constantes ainsi que de
fusion dans le couple.
Réaction possible de rejet de toute affectivité par peur d’aimer puis de perdre l’autre. Tendance a tout intellectualiser.
Des personnes très passionnelles peuvent investir toute leur passion en une seule personne.
Possibilité de refus d’engagement avec une personne.
Une
autre réaction possible est de se sacrifier, de toujours aider les
autres dans le but d’être aimé. Ces personnes sont souvent envahissantes
pour les autres.
Ce complexe provient soit d’une absence
d’amour dans l’enfance (absence de contact avec la mère) soit d’une
concentration trop importante de l’amour des parents sur un enfant
unique. Ce dernier voudra être le centre des êtres qui l’aimeront, ce
qui n’est pas facile pour un partenaire.

Complexe de rivalité fraternelle :
complexe engendré par la naissance du frère ou de la sœur. L’enfant
ressent un complexe d’abandon et aura tendance à régresser. Devenu
adulte, il ressentira un sentiment de rivalité à l’égard de beaucoup de
personnes.

Complexe d’insécurité :
correspond à un manque de confiance en la vie et en soi. La personne
peut souffrir de phobies. Elle peut se construire tout un système de
sécurité (par exemple en conservant des choses en abondance). Si
l’insécurité est niée (selon Adler) elle va se transformer
en témérité excessive. Ce complexe provient d’une absence d’amour, de
l’existence de liens difficiles avec les autres, etc.

Complexe de castration :
symbole de la castration de sa personnalité. Difficulté à s’affirmer
personnellement. Provient de parents trop possessifs qui dirigent
l’enfant de peur de le perdre, ce qui fait que devenu adulte, l’enfant
aura peur de quitter ses parents, de devenir autonome et d’avoir une
relation durable. Il développera pour ses parents des sentiments
ambivalents d’amour et de haine.
Ce complexe se manifeste par
une surcompensation, un désir de vouloir dépasser son père pour lui
prouver quelque chose, sentiments de donjuanisme, d’autoritarisme, de
sadisme, etc.
On répète souvent l’attitude de ses parents.

Complexe de culpabilité :
très fréquent. Dû à la rigidité de la conscience morale, idée du
devoir. Dramatisation des moindres fautes ou erreurs. Se traduit par
l’autopunition. Recherche de justification. Va avec le perfectionnisme.
Peur du jugement des autres. La personne ne se sent parfois plus digne
d’être aimée (mépris de soi-même).
Certains sentiments de culpabilité sont nécessaires quand on fait du tort à autrui.
L’origine
de ce complexe est la culpabilisation excessive, une éducation trop
stricte (le bien / le mal), la comparaison continuelle avec autrui, etc.

Complexe d’infériorité : terme crée par Adler qui
fait une distinction entre le sentiment et le complexe d’infériorité.
L’enfant développe un sentiment d’infériorité face à l’adulte (volonté
de puissance pour compenser ce sentiment), ce sentiment est normal chez
l’enfant. Le complexe d’infériorité provient d’un manque de confiance en
soi. Un enfant trop gâté par ses parents une fois adulte ne comprendra
pas pourquoi tout le monde ne l’aime pas et développera un complexe
d’infériorité.
La compensation se fera par des rêves de grandeur, par une mégalomanie, etc.
Pour Adler, le complexe d’infériorité provient d’une mauvaise compensation du sentiment d’infériorité de l’enfance.
Certaines
personnes n’osent pas s’exprimer de peur d’être ridicules. Elles
deviennent dépendantes de l’autorité. Chez les femmes, il peut exister
un sentiment d’infériorité par rapport aux hommes (origine culturelle),
la réaction à ce sentiment se traduira par une conduite de garçon
manqué.
Le sentiment d’infériorité peut être surcompensé par le complexe de supériorité (vanité, ironie, etc.).
Les
causes de ce complexe sont la souffrance d’un handicape réel, la
souffrance de ne pas être conforme aux normes sociales, l’éducation
infériorisante, etc.

Complexe de Narcisse :
centration sur soi et incapacité d’aimer. Fait de trouver naturel
d’être aimé sans retour. C’est aussi le fait de s’autoanalyser et de ne
parler que de soi. Fait de ne s’intéresser à l’autre que si on se
reconnaît en lui. Le narcissisme s’étend au prolongement du Moi
(famille, amis, etc.), il est associé aux complexes d’abandon,
d’infériorité et de culpabilité.
Une personne très susceptible l’est car elle rapporte tout à elle-même.
La société exalte le culte du Moi.

Conclusion

Il
y a des degrés variables dans les complexes. La prise de conscience de
la manière dont se forment les complexes permet d’y remédier.Les complexes sont dangereux quand ils empêchent la communication, le contact et l’écoute des autres


alors vs avez quel pirat complexe


moi le complexe de l'abondon je l ai eu et je l ai surmonté ca remonté a 4 ans de cela je me rappelle des moments et des jours noir de ma vie, je me rappelle de mon insomnie? dieu merci ? CAPABLE DE TT CHANGER

https://femmas.forummaroc.net

2Les complexes Empty Re: Les complexes Mer 27 Juin - 19:31

hyperact



You forgot to add MOROCCAN COMPLEX

3Les complexes Empty Re: Les complexes Jeu 28 Juin - 2:39

chaotica

chaotica
Admin

hyperact a écrit:You forgot to add MOROCCAN COMPLEX

explique ????

https://femmas.forummaroc.net

4Les complexes Empty Re: Les complexes Jeu 19 Juil - 4:00

chaotica

chaotica
Admin

le sujet c'est les troubles bipolaires ou maniaco depressif


Les troubles bipolaires, encore appelés maladie maniaco-dépressive, se caractérisent par des fluctuations de l’humeur.

En théorie, il s’agit d’une alternance de phases de grandes euphories,
parfois délirantes, et de phases de mélancolie, de grande tristesse.

Dans la réalité, on peut souffrir d’un trouble maniaco-dépressif et ne connaître qu’une seule phase, toujours dépressive ou toujours maniaque. Les cycles sont en effet plus ou moins longs, selon les personnes.
Alors, certes, nous sommes tous, plus ou moins, d’humeur changeante. Il y
a des matins où tout va bien et où l’on se sent une énergie de dragon
et d’autres où le poids de la vie pèse plus lourd. C’est normal...

Mais dans les troubles bipolaires, c’est la même chose, mais en plus intense. Dans les phases dépressives,
on ressent une tristesse extrême, une perte d’intérêt pour tout, des
troubles du sommeil, mais aussi des troubles de l’appétit, des pertes de
mémoire et des pensées de mort et des envies de suicide...

Au cours des phases maniaques, c’est l’inverse : on se
sent capable de tout faire, l’énergie déborde, quelques petites heures
de sommeil semblent suffire, mais le jugement devient erroné,
l’agitation extrême et il est alors possible de perdre pied avec la
réalité.
C’est quand on en arrive à ces phases extrêmes, à ces décompensations
que l’on peut se retrouver à l’hôpital, voire au poste de police. Il est
donc important de connaître la maladie pour en éviter les symptômes
invalidants.
Les causes

Lire la suite
Les complexes Bipolaire-3-2-154311_L
On n’en connaît pas vraiment les causes, même si le caractère familial de cette maladie a été bien étudié.

Environ 1% de la population souffre de cette maladie. Et certaines
familles ont un risque plus élevé de souffrir d’une maladie
maniaco-dépressive. Les gènes suspectés font l’objet de recherches.

Pour l’ensemble de la population, le risque de développer la
maladie est estimé à 1 ou 1,5 %, mais à 10% dans le cas d’antécédents
familiaux et à 30% lorsque les deux parents sont concernés.

Lorsque l’un des parents ou des frères ou sœur sont atteints de ce
trouble, il sera important d’être d’autant plus vigilent, en cas de dépression.
De même lorsqu’un jeune présente des troubles de l’humeur, un caractère
particulier, où s’alternent tristesse et euphorie, il sera important de
penser à la possibilité d’un trouble bipolaire surtout si quelqu’un
d’autre, dans la famille en est atteint.

A noter encore que cette maladie dure longtemps. Il s’agit d’un
trouble chronique auquel il faudra être attentif toute la vie, même si
les symptômes disparaissent et que la maladie est bien équilibrée.

Certains signes peuvent mettre en alerte, et faire suspecter un début de maladie maniaco-dépressive :

> une fatigue inexpliquée, une tristesse sans raison.

> une indifférence subite au monde environnant.

> un temps de sommeil rallongé : on dort beaucoup mais on reste fatigué. Ou, au contraire : des insomnies.

> des changements de niveau d’énergie : quelques mois à fond, plein d’énergie et tout à coup, le coup de vide.

Dans le cas d’une dépression
dont les symptômes sont aggravés par la prise d’antidépresseurs ou qui
résistent à ces antidépresseurs, il faut tout de suite penser à une
maladie maniaco-dépressive.

Dans le cas d’une entrée dans la maladie par une phase maniaque, le diagnostic peut être difficile à établir, lorsque les signes sont modérés.

Les signes peuvent alors être :
> un état de grande exaltation, sans raison particulière,
> une irritabilité exagérée,
> un niveau d’énergie inhabituel malgré peu d’heures de sommeil,
> une hyperactivité exagérée,
> un attrait excessif pour les plaisirs, au dédain de la gestion du quotidien,
> un optimisme extrême,
> une pensée qui s’accélère jusqu’à la confusion,
> une trop grande agitation motrice,
> une logorrhée sans fin,
> un sentiment de grandeur et de toute puissance.

Tous ces symptômes doivent faire penser à un trouble bipolaire, surtout, si des antécédents familiaux sont connus.

D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, les troubles
maniaco-dépressifs sont parmi les 10 maladies les plus handicapantes. En
effet, si la maladie n’est pas équilibrée correctement, il est
difficile d’avoir une activité professionnelle ou de poursuivre ses
études régulièrement. Les risques de suicide sont importants, également.
Il est donc essentiel de bien connaître les premiers signes de la
maladie, car les solution existent...

http://sante-az.aufeminin.com/mag/psychologie/d12097/x38463.html

https://femmas.forummaroc.net

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum